Hôpital de Gaoua : un jeune homme se débarrasse de ses seins
Hôpital de Gaoua : un jeune homme se débarrasse de ses seins
Un jeune homme a été admis le 4 septembre 2008 au bloc opératoire de l’hôpital de Gaoua où il y a subi une intervention chirurgicale. Il s’agissait pour le jeune de 22 ans de se débarrasser de ses seins bien rebondis à l’image des nichons d’une jeune fille. Le gynécologue qui l’a reçu a indiqué qu’il s’agissait d’une gynécomastie, c'est-à-dire d'un développement anormal des glandes mammaires chez l’homme. Grâce à cette opération, le jeune homme a désormais une poitrine d’homme, comme il le souhaitait.
Secteur 30 de Ouaga : un bébé retrouvé mort à côté du SIAO
Un bébé de sexe masculin encore couvert du sang de l'accouchement a été découvert le samedi 6 septembre aux environs de 7 h, côté ouest du SIAO au secteur 30 de Ouagadougou. Le voisinage, alerté par une fille qui a fait la découverte macabre, a, à son tour, appelé la brigade des sapeurs-pompiers de Bogodogo. Une fois sur place, les soldats du feu ont à leur tour alerté la police nationale et une société de pompes funèbres, après avoir constaté que le bébé ne vivait plus. Après les constats d'usage, le corps a été enlevé pour être enseveli.
Bobo : le portable d’un député perturbe une cérémonie
Alors que tout le monde était accroché aux paroles du conférencier qui témoignait sur la vie de Daniel Ouezzin Coulibaly, pour qui des activités étaient organisées le week- end dernier à Bobo Dioulasso pour commémorer le cinquantenaire de sa disparition en septembre 1958, le téléphone portable d’un honorable député sonna, plongeant tout le monde dans la gêne. Lui-même semblait avoir été surpris par la sonnerie. Pourtant, on avait prévenu les uns et les autres d’éteindre leur portable ou de les mettre sous le mode silencieux. Personne n’a parlé dans la salle, mais le long silence qui s’en est suivi, a suffi pour que l’honorable député se mette en règle vis-à-vis de l’assistance.
Rencontre MEBA/IAC : où était passé le chauffeur du ministre ?
A la sortie de la rencontre entre le ministre de l'Enseignement de base et de l'Alphabétisation Odile Bonkoungou et les 3 000 instituteurs adjoints certifiés (IAC) nouvellement recrutés, le 6 septembre 2008, à la maison du Peuple de Ouagadougou, le ministre a dû attendre son chauffeur près de la voiture, pendant 5 à 10 minutes. Où était-il passé ? Personne ne le savait. C'est au moment où, à force d'attendre, le ministre et ceux qui se tenaient à ses côtés décidèrent de le joindre par téléphone que celui-ci fit son apparition. Aux dires de ceux qui étaient proches du chauffeur, celui-ci aurait dit au ministre qu'il ne se sentait pas bien. Toujours est-il qu'à son arrivée, il avait la mine suffisamment serrée pour être pris au sérieux.
Le Pays du 8 septembre 2008